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Sugar skull mask with flowers used for celebrating Day of the Dead in hispanic culture. Me
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Deux bonnes, sœurs, Madame et un amant dénoncé. Un complot. Amour et désamour. Haine et tentatives de meurtres.Une comédie tragique où Genet dénonce la société bourgeoise et les jeux de pouvoir, interroge les comportements moraux et l’identité.Voici une version jubilatoire de cette œuvre transportée dans l’univers de la Fête des Morts au Mexique, travestissement appuyé par le masque du clown.

Les Bonnes est bien un conte moderne à la langue cruelle et poétique.

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La presse en parle

 

« Le jeu est une fête mortelle ! Marcos Malavia est incroyable en Madame, faisant son entrée sur un mambo aux paroles sues par cœur. Amélie Dumetz et Victor Quezada-Perez maîtrisent autant le fond que la forme dans un engagement au plateau sans faille. »Amélie Blaustein Niddam – Toutelaculture

 

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« Les bonnes profitent de l’absence de leur maîtresse pour s’emparer de ses oripeaux et singer la relation empoisonnée qui lie le maître à son domestique. Au son du mambo d’Yma Sumac, le dangereux rituel auquel elles se livrent mènera l’une d’elles à la mort. Horrifié, le public ne sait plus s’il faut rire ou s’enfuir. Inattendue, burlesque et colorée, cette mise en scène revisite génialement le chef-d’œuvre de Genet. »Sonia Garcia-Tahar – Le Dauphiné Libéré

 

 

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« La transplantation dans la société bourgeoise latino-américaine de cette comédie tragique va de pair avec les enjeux de ce continent qui nous plonge en permanence dans tels désarrois, complots et autres jeux de pouvoir. Les comédien.ne.s nous transportent en permanence entre farce et tragédie, entre poésie et lutte de classe, toujours pour notre plus grand plaisir. »Fabien Cohen – Franceameriquelatine.org

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